Test schizophrénie : les outils de dépistage existants
La schizophrénie ne se réduit pas simplement à des “épisodes délirants” comme beaucoup le croient, les symptômes de la maladie psychiatrique sont souvent bien plus discrets, voire insidieux. Difficile donc, de détecter la schizophrénie. Les symptômes sont si souvent “négligés” que la psychose est repérée bien trop tard. Pourtant les « tests schizophrénie » peuvent permettre de détecter la maladie pour assurer une prise en charge rapide et, ainsi, la traiter.
Des tests paracliniques efficaces
Pour soigner, encore faut-il repérer le problème et l’identifier pour en adapter le traitement. Bien qu’aujourd’hui il n’existe encore aucun examen paraclinique assez puissant pour confirmer un trouble schizophrénique ou non, certains tests constituent de bons outils de dépistage. Il existe notamment trois tests psychologiques qui permettent d’établir le diagnostic ou, du moins, d’aider à l’évaluation pronostique, c’est-à-dire à jauger l’évolution de la maladie sur le long terme. En premier lieu, le test d’efficience intellectuelle permet de mesurer les fonctions cognitives du patient, comme sa mémoire et son attention, par rapport au niveau intellectuel général.
Le célèbre test de Rorschach aide les professionnels de santé à évaluer les traits et caractéristiques de la personnalité du patient
Précisons, toutefois, que le quotient intellectuel n’a rien à voir avec la maladie. : un QI bas ou élevé ne représente en aucun cas un signe de schizophrénie. En revanche, le test peut mettre en évidence des signes annonciateurs de la maladie : une différence observée entre l’intelligence pratique et l’intelligence verbale, des difficultés de mémoire ou de concentration traduisent également une déficience de certaines fonctions cognitives. En second lieu, des tests de comportement et tests de personnalité participent également au dépistage de la psychose. Par exemple, le célèbre test de Rorschach aide les professionnels de santé à évaluer les traits et caractéristiques de la personnalité du patient. Ce test consiste à montrer plusieurs planches sur lesquelles des tâches symétriques ont été dessinées : le patient doit en faire une interprétation personnelle et la livrer à son psychiatre qui l’évalue alors.
S’ils peuvent aider au diagnostic dans bien des cas, ces tests peuvent aussi être effectués dans le cadre d’une aide à l’évaluation clinique ainsi que pour orienter les stratégies thérapeutiques.
L’imagerie cérébrale au service de la maladie
La neuro-imagerie, aussi appelée « imagerie cérébrale », joue également un rôle considérable dans l’identification du trouble. La communauté scientifique sait aujourd’hui que les patients schizophrènes présentent souvent une diminution du volume de la substance grise présente dans le cerveau. Ils ont également observé des connexions cérébrales déficientes et d’autres anomalies communes aux schizophrènes. De fait, scanners, IRM et autres techniques d’observation du cerveau permettent de vérifier l’état neurologique du patient. L’activité cérébrale peut également être observée par le biais d’un ECG c’est-à-dire d’un électroencéphalogramme, qui utilise lui des électrodes qui sont placées au niveau du cuir chevelu. Enfin, les épreuves psychophysiologiques qui se traduisent en fait par l’étude des relations entre l’anatomie du cerveau et les comportements du patient peuvent aussi aider à suivre un malade. Ainsi, en étudiant les signaux électriques provoqués dans le cerveau par des stimuli visuels, sonores ou même odorants, les spécialistes peuvent alors trouver certains troubles neurologiques, marqueurs de la maladie.
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