Couple : le chômage retarderait l’arrivée d’un premier enfant

En sus de son impact sur les plans professionnel et personnel, le chômage aurait également des répercussions sur le flux de naissances… En effet, les personnes n’ayant pas de travail attendraient que cette « mauvaise » période passe avant d’avoir de penser à fonder ou agrandir la famille, selon l’Institut national d’études démographiques (Ined). L’étude, réalisée entre 2005 et 2011 auprès de 10.000 Français, démontre clairement l’influence qu’exerce le non emploi sur les ménages : un quart des hommes et 38% des femmes, au chômage, interrogés en 2005 déclaraient vouloir faire leur premier enfant dans les trois années suivantes. Chez les personnes actives, ce chiffre s’élèvait à 43% pour les hommes, et 53% chez les femmes. Un écart qui n’empêche pourtant pas la France d’être championne de la fécondité en Europe !
©2015 iStockphoto / David Pereiras Villag
Maladie cœliaque : zoom sur les pathologies associées
Schizophrénie paranoïde : ces délires à prendre au sérieux
Qualité du sperme : l’importance d’une bonne hygiène de vie
Les différentes formes d’endométriose
Test schizophrénie : les outils de dépistage existants