Les différentes formes de surdité
Malgré les progrès techniques et les avancées dans la compréhension des mécanismes du système auditif, la science ne permet toutefois pas encore de régénérer les cellules ciliées responsables du dysfonctionnement de la malaudition. Explications.
La disparition de ces cellules, en effet, se fait plus où moins vite chez l’être humain, mais il faut savoir aussi que le problème n’est pas systématiquement causé par la disparition de ces dernières. En effet, en fonction de la localisation de l’anomalie, le type de déficience auditive sera différent. Lorsque l’oreille externe ou l’oreille moyenne sont défaillantes, alors on va parler de surdité de transmission. C’est-à-dire que les ondes sonores vont être moins bien captées et donc moins bien entendues. La perte est en moyenne rarement supérieure à 40 dB, ce qui est assez peu, et ce type de surdité est, en règle générale, opérable.
Les surdités nerveuses, elles, concernent directement le nerf auditif ou les centres cérébraux
La surdité de perception, les surdités nerveuses, profondes ou même totales…
Ensuite, il va y avoir la surdité de perception : ici, l’oreille interne est touchée. Puisque cette partie du système établit la liaison entre l’oreille et le cerveau, la déficience sera plus difficilement traitable. Les surdités nerveuses, elles, concernent directement le nerf auditif ou les centres cérébraux. Plus rare, cette défaillance peut tout de même se régler par une opération ou un appareillage. Pour terminer, il y a les surdités profondes ou totales : ce dernier groupe se traduit par une perte auditive de 90 à 120 décibels pour les « profondes » et à 120 dB ou plus pour les « totales », les sons ne sont quasiment voire plus du tout perçus.
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