Qualité de l’air intérieur : une priorité de santé publique !

Chaque individu passe près de 90% de son temps dans des environnements intérieurs. C’est pour cela que le PNSE 3 (Plan national de santé environnement) intègre aussi la qualité de l’air intérieur dans ses actions à mener.

Le 25 septembre dernier, s’est ainsi tenue la première Journée nationale de la qualité de l’air, sous le pilotage du ministère chargé de l’écologie en partenariat du ministère de la santé. Une action visant à mieux sensibiliser les citoyens et l’ensemble des acteurs concernés, aux enjeux notamment sanitaires de la pollution de l’air présente à l’extérieur comme à l’intérieur.

Des polluants qui peuvent avoir des effets sanitaires divers tels que : l’asthme, les allergies respiratoires, des irritations du nez et des voies respiratoires ; certaines substances peuvent même avoir un effet cancérigène.

De nombreuses substances, en effet, peuvent être émises à l’intérieur des locaux, notamment par les matériaux de construction, d’ameublement et de décoration, les colles, les appareils à combustion, les animaux et les diverses activités humaines. Des polluants qui peuvent avoir des effets sanitaires divers tels que : l’asthme, les allergies respiratoires, des irritations du nez et des voies respiratoires ; certaines substances peuvent même avoir un effet cancérigène.

Conformément à l’article L.1311 du code de la santé publique prévoyant, un plan national de prévention des risques pour la santé liés à l’environnement est ainsi prévu tous les cinq ans. Le 3è en cours sur la période 2015-2019 prend notamment en compte, les effets potentiellement délétères des agents chimiques, biologiques et physiques présents dans les différents milieux de vie, y compris au travail.

L’idée ? En savoir plus sur tous ces polluants communément présents dans les environnements intérieurs comme par exemple le formaldéhyde et les moisissures, ainsi que les éventuels effets sur la santé de coexpositions aux différents polluants de l’air intérieur.