Pénoplastie médicale : l’agrandissement du pénis sans chirurgie !

Le Dr Richard Diacakis, chirugien plasticien et esthétique à Paris est un expert de la pénoplastie médicale, une pratique permettant de grossir le sexe masculin sans passer par la chirurgie. La promesse : permettre à ces messieurs de gagner jusqu’à 3 centimètres…

Voilà plus de deux décennies maintenant que Richard Diacakis décomplexe les hommes en réalisant « leur rêve d’enfant » inavoué…  S’il commence par la méthode chirurgicale traditionnelle, à savoir la pénoplastie par injection de graisse au bloc opératoire (pratiquée depuis les années 70), il ne va pas tarder à expérimenter une autre voie : les injections d’acide hyaluronique au niveau du pénis. Le succès est au rendez-vous !

Mais pourquoi les hommes en veulent-ils une toujours plus grosse ?

Pour Richard Diacakis, l’augmentation de la taille du pénis est une vraie réponse à l’attente de certains hommes qui veulent gagner « en confiance, avoir une silhouette plus harmonieuse, plus attractive, plus séduisante, et plus érotique dans l’intimité ». De fait, après l’intervention, le changement anatomique est « vécu comme un catalyseur d’énergie, de bien-être. On se mieux, on se sent plus en harmonie avec soi », explique-t-il. Et d’ajouter : L’homme vit au quotidien avec son sexe. Il a besoin de sentir sa présence, d’en être fier au repos comme en érection… ».

Une VRAIE réponse face à l’éjaculation précoce

 Sans compter que certains hommes sont véritablement complexés par la taille de leur sexe, surtout au repos… Par exemple, ils sont 70% à souffrir du syndrome du vestiaire, aussi irrationnel que soit ce blocage… Car pour le chirurgien, « le pénis est souvent de taille normale voire plus grand que perçu ». Seulement voilà, quand le complexe devient synonyme de souffrance, quand il se transforme en une obsession qui gâche la vie et empêche l’homme d’aller à la plage, de faire du sport ou de se montrer nu, il est possible d’agir avec la pénoplastie médicale. Selon notre spécialiste, la méthode permet en effet « de faire disparaître dans presque 100% des cas le syndrome du vestiaire grâce à un sexe qui paraît au repos beaucoup plus imposant, et ce avec des vêtements comme dans le plus simple appareil… ». Autre phénomène dont permet de venir à bout la pénoplastie médicale : l’éjaculation précoce. Ce trouble sexuel, source d’anxiété qui touche 20 à 30% des hommes, se définit par une éjaculation en moins de deux minutes et « dont l’impact sur l’homme, la femme et le couple peut être grave et mener, parfois, au divorce ».

Un sexe plus long et plus large ! Mais comment ça marche ?

Contrairement à la pénoplastie chirugicale par injection de graisse qui demande une hospitalisation avec anesthésie générale pour un résultat estimé à trois mois (pouvant d’ailleurs aboutir à une seconde intervention en cas d’irrégularités ou d’insatisfaction quant au résultat), la pénoplastie médicale par injection d’acide hyaluronique se fait au cabinet médical. Ici, nul besoin de bistouri ou d’incisions. L’intervention va durer de 20 à 30 minutes seulement et est garantie indolore par Richard Diacakis. Il explique : « Grâce à deux petits points d’anesthésie sur le dos du pénis, ressentis comme deux petits pincements, l’ensemble du sexe sera endormi ».

Un résultat durable avec la pénoplastie médicale

En sortant du cabinet, le patient n’aura que 30% du volume espéré, mais 100% dès le lendemain, voire 130% en raison de l’œdème post-injection. Une seconde visite de contrôle sera à prévoir pour d’éventuelles corrections et obtenir un résultat définitif satisfaisant.

A chaque séance, il est possible de gagner de 2 à 3 centimètres de circonférence avec un pénis au repos plus large et plus long mais uniquement plus large en érection. La séance peut être répétée à deux mois pour ceux qui désirent plus. En revanche, Richard Diacakis met en garde les trop « gourmands » : « Faire plus de 3 centimètres lors d’une séance serait non seulement dangereux pour des raisons vasculaires mais ferait aussi courir le risque d’irrégularités importantes et difficiles à corriger lors de la consultation de contrôle ».

Quant à la pérennité du résultat, la réponse est là encore une excellente nouvelle : « J’informe mes patients qu’il faut prévoir une diminution d’environ 30% du volume à deux ans c‘est-à-dire que 70% du résultat sera maintenu durant plusieurs années ! ». Mais la durée sera aussi fonction de deux éléments : la bonne pratique et connaissance de la technique ainsi que la qualité de l’acide hyaluronique utilisé.

Seul bémol à l’intervention, mais éphémère, soyez rassurés messieurs : une abstinence sexuelle totale de 7 à 10 jours après l’intervention, fellation et masturbation incluses.