ASMR : qu’est-ce que l’orgasme cérébral ?

Vous avez peut-être déjà entendu parler de l’orgasme cérébral, aussi appelé ASMR (Autonomous Sensory Meridian Response). Cette forme de bien-être provoque un intérêt croissant, notamment à travers de nombreuses vidéos relayées sur le web. 

Encore peu étudié par les scientifiques, l’orgasme cérébral serait déclenché par divers stimuli variant d’un individu à l’autre, et comporterait plusieurs bienfaits.

Comment cela fonctionne  ?

L’ASMR se caractérise par une sorte d’extase sensorielle provoquée par des stimulations diverses : des sons particuliers, des musiques apaisantes, des mouvements ralentis, ou encore des gestes et actions qui captent le regard. Rendue populaire aux Etats-Unis il y a une dizaine d’années, l’orgasme cérébral fait de plus en plus d’adeptes en Europe, et notamment en France.

L’ASMR serait provoquée par la sécrétion de la dopamine, hormone du bonheur.

Sur des vidéos postées sur le web, on peut voir des personnes utiliser des stimuli pour tenter de provoquer une forme de bien-être chez le spectateur. Chuchotement, gestes lents, images de synthèse agréables à regarder, etc. Les stimuli sont divers et agissent sur le cerveau de telle sorte que les personnes qui visionnent ces images peuvent ressentir de légers frissons ou chatouillements. 

L’ASMR serait provoquée par la sécrétion de la dopamine, hormone du bonheur.

Les bienfaits de l’orgasme cérébral

Comment expliquer un tel engouement autour de ces vidéos ? La raison est simple : leur visionnage aurait de multiples bienfaits sur le corps et l’esprit. Leur première vertu serait leur effet relaxant.

L’orgasme cérébral pourrait aussi avoir un effet favorable sur les douleurs chroniques en raison de l’endorphine sécrétée grâce aux stimuli.

L’ASMR pourrait en effet permettre d’évacuer le stress et favoriserait le sommeil. Il pourrait aussi jouer sur le moral et faire disparaître temporairement les états dépressifs.

Enfin, l’orgasme cérébral pourrait aussi avoir un effet favorable sur les douleurs chroniques en raison de l’endorphine sécrétée grâce aux stimuli.